34 leçons que j'aurais aimé savoir à 20 ans.
J'ai 34 ans et ce n'est pas mon anniversaire. J'avais juste envie.
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Pour celles et ceux qui n’ont pas suivi les annonces sur mon compte Instagram, je me suis lancé depuis le 1ᵉʳ novembre un défi (intense) de 30 jours pour changer ma vie.
Au programme :
Écrire 1 newsletter de 1000 mots par jour
Nager 2 km / jour (10 km / semaine)
Réduire ma sédentarité de moitié
Les raisons sont multiples (comme expliqué dans les Stories ci-dessous) et les résultats obtenus vont me permettre de progresser positivement vers la vie que je souhaite construire, de repousser mes limites et de libérer mon potentiel.
Cette newsletter (comme celles que j’écris tous les jours) est l’occasion pour moi de tester de nouveaux sujets, de nouvelles structures, d’affiner mon style, etc. C’est un formidable exercice pour devenir un meilleur écrivain, diversifier mon contenu et clarifier mes pensées.
Aujourd’hui, je vais vous partager 34 leçons précieuses que j’aurais aimé savoir à 20 ans. Une période où j’avais besoin, plus que jamais, de beaucoup de guidance dans ma vie. J’espère, quel que soit ton âge, que ça pourra t’inspirer.
1. Tout ce qui vaut le coup dans la vie est difficile à obtenir.
La souffrance et la douleur sont les tickets d’entrée pour passer de l’autre côté de la barrière, quel que soit l’objectif. Perdre du poids, c'est difficile. Faire du sport, c'est difficile. Apprendre un nouveau skill c’est difficile. Gagner de l'argent, c'est difficile, etc. À l'inverse, tout ce qui est facile à obtenir n'est jamais bon (écrans, porno, junk food, etc.).
Si tu prends dur à faire quelque chose, ça veut dire que c’est précieux. Continue.
2. La comparaison tue chaque instant de joie.
Beaucoup de fois (et encore aujourd’hui) je me suis comparé consciemment ou inconsciemment aux autres. Cette merde tue le bonheur. En pensant aux autres, tu n'es JAMAIS assez pour toi. Tu es distrait. Tu n'es jamais suffisant, ni fier.
Il y a toujours quelqu'un, quelque part, qui fait les choses 1000 fois mieux que toi.
Si tu es sensible à ces choses comme je l’étais, éloigne-toi des sources de comparaison (réseaux sociaux, TV, sensationnalisme, etc.). Change ensuite ton rapport aux autres. Au lieu de les envier, encourage-les et sois content pour eux. Enfin, change ton rapport à toi-même. Donne-toi à fond. Apprends à t’aimer, t’encourager et te récompenser pour tes actions, même les plus petites.
Ton seul compétiteur, c'est le toi de demain.
3. La seule chose à faire pour réussir, c’est de ne jamais abandonner.
90 % des gens échouent parce qu’ils abandonnent. Et ils abandonnent parce qu’ils n’ont pas d’identité clairement définie, pas de direction et pas de processus clairs pour mener à bien leurs objectifs. Tant mieux, ça laisse une autoroute libre pour ceux qui ont la niaque. Avant de commencer quoi que ce soit, promets toi de ne pas abandonner.
Cette promesse doit chapeauter tout le reste.
4. Les pessimistes ont l’air intelligents. Les optimistes sont riches (et heureux).
Dans ta vie, tu rencontreras beaucoup de gens pessimistes. Et leurs discours pencheront souvent du côté de la majorité et de ce qu’aiment entendre les gens.
Ils seront souvent sceptiques, excessivement prudents (c-a-d peureux), auront une aversion au risque, seront négatifs, et verront toujours des portes fermées plutôt que des portes ouvertes (et parfois ils n’en verront même pas !).
Ils pencheront toujours du côté de la sécurité, de la norme, de la rationalité (infusée de peur), de l’immobilisme et de la critique. Les pessimistes rassurent, semblent avoir raison et être intelligents. Aux diners, ils sont très écoutés. Ils savent pointer le négatif, les failles, les problèmes et tout ce qui ne va pas. Ça plait.
Mais c’est facile… souvent même, ça s’arrête là.
Ils n’ont aucun courage, ni flamme intérieure, ni espoir. Ils ne comprennent pas le vrai coût de créer, produire, imaginer, concevoir, tester et itérer. Ils ne voient pas la valeur d'être dans l'arène plutôt que dans les gradins.
L'optimisme, quant à lui, exige de l'audace et du courage. Il requiert une vision claire de ce qui peut être accompli, même sans preuves immédiates. Il crée à partir du chaos. Il invente à partir de ce qui n’existe pas encore. Il voit des choses qui n’existent pas encore dans la réalité, mais seulement dans l’esprit.
Les optimistes voient des opportunités là où les pessimistes voient des obstacles. Ils n'ont pas peur de prendre des risques calculés, d’expérimenter et d'échouer pour mieux recommencer. Leur force réside dans leur capacité à avancer malgré l'incertitude. Ils croient que les choses peuvent changer, et ils font en sorte que cela arrive, peu importe les défis.
Leurs pensées et leurs actions sont dirigées pour créer une réalité qui n’a pas encore lieu.
Pour les normies, les clones de la société et les bons petits soldats du système, cette attitude paraît souvent fantaisiste, déconnectée et naïve. Les pessimistes peuvent paraître intelligents avec leur analyse acerbe d'une situation déjà inventée (par des optimistes). Mais, c'est l'optimiste qui construit des choses et invente le futur (y compris le sien).
Il lance des entreprises, invente des objets, génère des revenus et infuse dans l’esprit des autres une nouvelle manière de voir les choses. Ils ont compris que pour réussir, il faut utiliser son esprit et son imagination pour créer, oser, rêver grand et surtout, persévérer.
5. Si tu es bien confortable dans ta vie, c’est que tu n’évolues plus.
Je rigole souvent quand j'entends des gens dire qu’ils rêveraient, après leur retraite, d’être à Hawaï en train de siroter des petits cocktails en bord de plage au soleil. Si on déconstruit ce fantasme, on réalise vite qu’il ne tient la route que sur 2-3 semaines.
Après ça, boire des cocktails fait de toi un alcoolique.
Être tout le temps à la plage, ça devient répétitif.
Bronzer tout le temps au soleil devient dangereux.
Et ne rien faire de sa vie, ça devient ennuyeux.
En vrai, le confort, c’est une zone de stagnation. Sans sens à sa vie, la vie devient ennuyeuse et répétitive. Quand on se sent trop à l’aise, on arrête de repousser ses limites et on se met à oublier ce que ça veut dire de grandir et on devient dépressif.
Évoluer, ça vient avec la prise de risques et avec une certaine dose d’inconfort, de douleur et de souffrance. Si la vie ne te met pas au défi, c’est que tu es probablement resté là où tu étais hier. Ne deviens pas la personne qui base ses plus grandes fiertés sur des accomplissements qu’elle a accomplis il y a 20 ans. J’ai déjà entendu des gens comme ça rêver de leur vie passée ("Regarde comme j’étais talentueux, "Regarde comme j’étais fin", "Regarde comme j’étais sportif", "Regarde comme j’étais actif", etc.).
C’est triste. Si tout ce que tu as fait est derrière toi pour quoi vis-tu aujourd’hui ?
Une vie épanouie, ce n’est pas s’installer confortablement dans un nid douillet. C’est challenger régulièrement son statut, ses compétences, ses connaissances, ses limites et ses capacités, savoir se réinventer et être fier (et surpris) de soi quelles que soient les époques de sa vie et son âge.
À 80 ans, je veux courir des marathons. Je veux apprendre à jouer du piano à 60 ans. Je veux écrire un livre à 50 ans. Je veux apprendre le jardinage à 40 ans. Je veux faire 1000 km à vélo à 70 ans. Mes challenges ne s’arrêteront jamais, j’ai déjà plein de projets de prévu et plein de manières d’être meilleur demain que ma version d’hier.
Sois toujours fier de qui tu seras, pas de qui tu étais.
6. La procrastination revêt de multiples visages (sournois).
Lire des livres de développement personnel, mais ne pas appliquer les conseils dedans, c’est une forme de procrastination. Enchainer les formations pour devenir meilleur à quelque chose, mais ne jamais sauter le pas, c’est de la procrastination.
En fait, tout peut être une forme de procrastination. En fait, c'est le cas dès que tu cherches, inconsciemment, à temporiser un problème, l'éviter, quelque chose qui t’angoisse ou à être dans le déni qu’une chose n’existe pas.
La procrastination, ce n’est pas de la paresse.
C’est une manière malsaine de gérer ton anxiété.
Reste toujours à l’affût. Ton cerveau, c'est un ninja 5ᵉ dan. Il a des centaines de milliers d'années d'expérience. Il saura toujours t'entourlouper.
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7. La colère, la souffrance et la frustration peuvent être des moteurs de réussite.
La colère et la frustration sont vues comme des émotions négatives. Mais, elles peuvent aussi être des moteurs très puissants. Je le sais, car une grande partie de ma vie a été dirigée par la colère et la frustration. C’est juste une forme d’énergie comme une autre et bien dirigée, tu peux t’en servir pour soulever des montagnes immenses (que d’autres formes d’énergie ne peuvent pas faire).
Si tu veux bien les utiliser, considère-les comme un feu que tu manipules. Ne les laisse pas te consumer. À la place redirige cette énergie pour trouver un sens à ta vie, te donner la rage de ne plus jamais être la mauvaise version de toi (celle qui te ralenti), te donner des élans de motivation (mêmes temporaires), dépasser tes limites et surpasser tes objectifs dans un élan de colère.
Utilise cette énergie, mais accepte le fait que tu devras aussi un jour t’occuper de comprendre la source de ta colère, gérer tes émotions et leur dire adieu. La colère n’est ni bonne ni mauvaise, c’est une émotion utile. Mais trop de colère vient en général de quelque chose de non résolu qui au bout d’un moment deviendra un frein à ta vie.
Apprend à l’utiliser, mais sache qu’à un moment, les problèmes l’emporteront sur les avantages. Tu devras résoudre la source de ta colère et être en paix avec toi. Puis te pardonner et pardonner aux autres.
8. Avant de chercher à devenir meilleur, tu dois chercher à devenir moins pire.
Si tu as des problèmes avec l’alcool, avec tes émotions, ta santé mentale, ton passé, avec tes relations, ta famille, une addiction, de la dépression, tu dois absolument t’en occuper en priorité.
Si tu veux réaliser tes rêves, tu dois d'abord briser les chaînes qui te retiennent. Elles alourdissent chaque jour de ta vie. Mon conseil, c'est d’investir dans un psy (1-2 séances par semaine pendant 1-2 ans te feront gagner 20 ans de problèmes), le sport, les livres.
Cherche des réponses sur le web, écris tes pensées, demande aux autres, observe les meilleurs et les « rescapés ». Fais un travail d'introspection sur toi. Il n’y a rien de pire que de trainer un boulet énorme au pied durant sa vie en pensant que ça fera l’affaire.
Sois la meilleure version de toi, pas juste une ombre.
9. Les gens normaux sont à fuir absolument.
Les gens "normaux", ce sont ceux qui suivent la masse et ne remettent jamais en question le statu quo. Ils suivent des chemins tracés, vivent des vies sans risques, régurgitent ce qu’ils entendent, ils n'essayent rien, ne produisent rien, et se rangent toujours du côté de la sécurité.
Si tu ressens en toi une énergie différente (ou que tu la ressens chez tes enfants), tu dois fuir cette norme. Les esprits libres (et optimistes) osent bousculer les conventions et penser différemment. Il faut les laisser voler. Ce sont ceux qui font avancer les choses, pas les clones. Ce n’est pas dans la conformité qu'on crée du changement, mais dans l’originalité et l’audace.
Pour créer une vie différente, discute avec des gens qui ont la même vision que toi et qui ont réussi (c’est important) dans cette voie.
J’ai écrit un guide complet ou je t'explique comment réussir à transformer ta vie en seulement 30 jours. Grâce à l'Auto-Discipline, la Résilience et une Introspection... brutalement honnête.
Tu retrouveras dedans des techniques, méthodes et systèmes concrets pour réussir à reprogrammer ton identité, à mettre en place des systèmes fiables pour ancrer tes habitudes de manière solide pour t’assurer d’atteindre n’importe quel objectif.
Le tout est basé sur les sciences modernes, mon expérience depuis 10 ans en tant que solopreneur, et la sagesse ancestrale des philosophes stoïciens.
10. En devenant meilleur, tu rends le monde meilleur
L’amélioration de soi, c'est un processus qui profite à tous. En travaillant sur toi, en devenant une meilleure version de toi-même, tu vas inspirer les autres à faire de même. Ces "autres" que tu inspires seront tes amis, ta famille, tes collègues et tes enfants. Devenir meilleur ne veut pas dire optimiser sa vie égoïstement.
Ça veut dire influencer positivement son environnement. Plus tu t’élèves, plus tu peux tendre la main aux autres et les aider à faire de même. Ton évolution personnelle a un effet d'entraînement. À chaque pas, à chaque projet, à chaque résultat, tu acquiers de l'expérience. Et les autres t’observent. Ils te voient. Tu peux influencer leur vision de la vie.
Ce que tu fais et dis peut changer les pensées et les actions du monde autour de toi.
11. Réussir n’est que la conséquence de savoir échouer le plus possible.
Les échecs sont des opportunités déguisées. Le vrai succès ne vient pas de la chance. Il vient de savoir comment échouer, rapidement, intelligemment et continuellement. Une fois que tu comprends ça, tu réalises que l’échec est une chose formidable, qu’il ne faut pas fuir et redouter, mais qu’il faut au contraire activement rechercher.
Chaque erreur, chaque faux pas est une leçon qui te permet de te rapprocher de ton objectif. Ceux qui réussissent ne sont pas ceux qui évitent l’échec, mais ceux qui l’embrassent comme une boussole qui les guide. Ils savent que chaque échec les rend plus forts et plus sages. Cela les prépare à surmonter les prochains obstacles.
Plus tu échoues, plus tu apprends, plus tu deviens compétent.
L’échec n’est pas l’opposé du succès, il est son plus fidèle ami.
12. Sans direction dans la vie et sans but profond, tu ne sauras jamais où tu vas et qui tu es vraiment.
Sans but, tu n’es qu’un navire à la dérive. Chaque jour, tu t’engages dans des actions sans but réel, sans direction. C'est facile de vivre dans ce flou. La plupart le font. Ils passent ensuite leur vie sur leurs écrans ou à vivre une vie que la société leur a recommandé de suivre. Mais, pour la plupart, ce n'est pas satisfaisant.
Quand tu sais où tu vas, tout devient plus clair. Tout prend un sens profond. Tu sais pourquoi tu fais les choses. Tes choix, tes priorités, tes sacrifices, tout en découle. Tu n’es plus là pour suivre les choses que la société, tes parents ou les médias t’imposent, mais pour les maîtriser. Un but clair, c’est ce qui te pousse et ce qui te maintient en mouvement, même quand le chemin est difficile. C’est ton WHY, ton POURQUOI.
Sans but, tu risques de te perdre. Avec un but, tu trouveras une clarté et une satisfaction sans pareil. Si tu ne sais pas où tu vas, cherche par tous les moyens à le découvrir. Ce n’est pas une option.
Voici un article que j’ai écris et qui pourra t’aider :
Comment construire une vie pleine de sens (partie I)
Pour rappel : je me suis lancé dans un défi de 30 jours ce mois-ci (du 01/11 au 30/11) afin de dépasser mes limites physiques et mentales, libérer mon plein potentiel et construire la vie de rêve dont j’ai toujours voulu.
13. Évite tout ce qui veut vider ta dopamine.
Tout le monde se bat pour ton attention aujourd’hui. Elle vaut de l’argent (des milliards). Les réseaux sociaux, les pubs, les notifications, tout est conçu pour capter ton regard, te garder accro, vider ta dopamine et en tirer profit. Nos cerveaux sont moissonnés, tous les jours, comme un beau champ de blé bien doré.
Le problème, c’est que chaque fois que tu leur donnes ton attention, tu te vides toi-même de ton énergie, du sens à ta vie et de ta concentration. Tu vis ta vie par procuration au travers des accomplissements des autres. Tu vis des moments de plaisir au travers des événements immatériels et irréels. Tu souris à des personnes que tu ne connais pas. Tu apprends des choses que tu oublies deux heures après.
Tu te souviens des vidéos que tu as regardées avant-hier ? Et si oui, est-ce que tu pourrais m’expliquer de quoi ça parlait ? Quelle est l’utilité concrète et pratique que ça t’a apportée dans ton quotidien ?
Si j’ai passé ma scolarité à apprendre des théorèmes à la con qui ne m’ont jamais servi une seule fois dans ma vie, ce n’est pas pour faire pareil avec ce que je consommerai ces 50 prochaines années.
Tu ne peux pas créer, innover ou évoluer si tu passes ta vie à te nourrir de ce qui vole ta concentration. Les Français passent en moyenne 4-5 h par jour sur leurs écrans (hors travail), ça en dit long. Ça ne te fait pas flipper ?
Protège ton attention comme un trésor (parce que c’est exactement ce que c’est). Définis tes objectifs, focalise-toi sur ce qui compte, lève-toi, fais des choses dont tu es fier, fait des choses qui vont faire avancer ta vie.
Ce que tu consommes détermine ce que tu produis ensuite. Si tu consommes de la merde, tu penseras de la merde, diras de la merde, et tu produiras de la merde.
14. La colère, le mépris et le jugement des autres sont des « cadeaux » que tu n’es pas obligé d’accepter.
Les autres vont toujours juger, critiquer, et parfois mépriser ce que tu fais. Mais tu n’es pas obligé d’accepter leurs « cadeaux ». La colère et le mépris ne sont que des réactions des autres face à leurs propres insécurités ou à ton succès.
Si tu choisis d’y répondre, tu laisses ton énergie se diluer dans des émotions qui ne te servent à rien du tout et qui ne te concernent pas. Ce que les autres pensent de toi n’a pas d’importance, sauf si tu choisis de leur accorder ton attention.
Voici une histoire qui t’aidera à mieux comprendre :
Un homme avait entendu dire que le Bouddha aimait toujours. Il était bienveillant. Si quelqu'un lui faisait du mal, il répondrait par la bonté. Pour cette raison, il se mit à injurier le Bouddha, mais celui-ci garda son calme et ne montra aucun désagrément. Quand les insultes s’arrêtèrent, le Bouddha dit :
« Mon fils, si tu fais un cadeau à un homme et que cet homme ne l’accepte pas, que vas-tu faire de ce cadeau ? »
L’homme répondit : « Le remporter ! »
« Maintenant, mon fils, tu m’adresses des injures. » De la même manière, je ne les reçois pas. Mon fils, tu peux toi-même les remporter. Le désagrément sera pour toi ! Comme l’écho suit la voix, comme l’ombre court après le corps, ainsi l’on ne peut échapper au fruit de ses propres actes. »
Le Bouddha a dit :
« Un méchant qui nuit à un sage est comme un homme qui crache vers le ciel. » « Le crachat ne souille pas le ciel, mais le corps de cet homme. » C'est comme celui qui jette de la poussière à quelqu'un avec le vent. La poussière ne salit pas l'adversaire, mais celui qui l'a lancée. « Le sage ne pouvant pas être ébranlé par la mauvaise action, c’est à soi-même que, nécessairement, on fait du tort. »
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15. Beaucoup de gens sont lâches.
La lâcheté, c'est choisir de ne pas agir. C'est fuir un conflit par peur de la difficulté. Et beaucoup de gens sont lâches. Certains se rangent du côté du plus fort. D'autres font semblant d'être d'accord. D’autres balancent les autres. D'autres encore sont lâches en ne venant pas en aide à quelqu'un. D’autres n’osent pas dire ce qu’ils pensent. Par exemple, ghoster quelqu’un est une forme très démocratisée de lâcheté.
Cette lâcheté est un fléau dans la société et beaucoup trop de gens l’ont normalisée et rendue acceptable. Elle ne l’est pas. C'est à cause de comportements comme ça qu'on a des sociétés de gens incapables de sauver une personne en détresse dans le métro.
Il faut avoir le courage de se lever pour ce qu’on croit être juste, même quand c’est difficile. Ce n'est pas en étant indifférent ou en ayant peur de déplaire qu'on crée un monde meilleur. C'est en ayant la volonté d'agir, de défendre ses convictions et de prendre des responsabilités, même petites.
J'ai été parfois lâche envers moi-même, et j’ai toujours regretté ensuite de n’avoir pas fait ce qu’il fallait. Je n’ai par exemple rien osé dire face à des gens racistes dans mon entourage. J’ai souvent prétexté qu’ils ne devaient pas vraiment penser ce qu’ils voulaient dire. Cela me servait d’alibi pour ne pas réagir et les confronter. Lors d’un dîner, d’un weekend entre amis, à la machine à café, je n’avais pas envie de « casser l’ambiance ». Au détriment de ma propre estime de moi. Parce que j’avais peur.
Mais j’ai compris que le cout de la lâcheté est immense. Être lâche, c'est détruire les fondations mêmes de son identité. C’est empoisonner son estime de soi et ses valeurs. C’est céder face à la peur et autoriser la malveillance à se répandre librement, sans aucun frein pour l’arrêter.
Je suis convaincu que ce sont les petits actes de malveillance ordinaire du quotidien qui servent de tremplin plus tard pour commettre le pire. Il faut les tuer dans l’oeuf.
Il faut être courageux, même dans les petites choses, pour créer une société juste et équilibrée et ne pas laisser le mal, la violance et l’ignorance se répandre.
16. La jeunesse est le meilleur moment pour souffrir.
La jeunesse, c’est la période de ta vie où tout est possible. Tu as de l’énergie, tu as du temps, le feu qui brûle en toi et tu n’as pas encore les responsabilités qui te freineront plus tard. C’est maintenant que tu dois souffrir, que tu dois bosser le plus dur possible pour bâtir les bases de ton futur. Si tu as 20 ans, crée un business en ligne, accomplis tes rêves, travaille le soir, les week-ends, pendant les vacances. C’est maintenant.
La jeunesse est faite pour construire, pas pour décliner.
17. Si tu es coincé dans ton passé, tu dois absolument briser tes chaînes pour avancer et être heureux.
Le passé a ce pouvoir étrange de nous emprisonner. Mais dans la réalité, il n’existe plus. Pas plus que le futur. Ils sont conceptuels. Il existe seulement dans notre esprit, dans lequel on le ressasse sans cesse.
Les regrets, les erreurs, les anciennes relations peuvent nous bloquer. Ils peuvent nous faire ruminer pendant des années. Mais tant que tu te tournes vers le passé, tu ne peux pas avancer. Pardonne-toi, pardonne aux autres, accepte ce qui ne peut être changé et libère-toi de ce poids.
Et fais ce qu’il faut pour arranger ça : psy, lecture, écriture, sport, etc.
Pas de demi-mesure.
18. Fais ce que tu dois faire…
Un jeune qui veut réussir, mais qui n’a pas d’argent :
Ne peut pas acheter beaucoup de livres pour se cultiver.
Ne peut pas acheter de logiciels pour développer ses compétences
Ne peut pas acheter des formations pour apprendre des compétences.
En gros, il ne peut pas se former. Il n'a pas accès à la culture moderne, aux derniers best-sellers, aux auteurs à succès, aux progrès de la science, du marketing, de la psychologie et de la nutrition. Il ne peut pas se former aux derniers standards, aux dernières pratiques, apprendre et acquérir une valeur unique sur le marché. Il est condamné à rester pauvre, à apprendre des merdes obsolètes qui ont 50 ans de retard, à lire les classiques de la littérature (qui ne sont pas les plus fun à lire), etc.
Et ensuite, la société va lui dire "« Quand on veut. On peut”. C’est du bullshit.
La réalité, c’est que pour certains, le chemin vers l’apprentissage et la réussite passe souvent par des ressources limitées. Mais au lieu de se laisser décourager, profite des ressources gratuites… ou accessibles sur internet.
19. Être discipliné, ce n’est pas être capable de résister à tout.
La discipline, ce n’est pas une question de résistance aveugle à la tentation. Ce n’est pas être capable de dire non à tout ce qui te distrait (écrans, alcool, sucre, porno, etc.).
Avant, je pensai qu’être vraiment discipliné, c'était être capable d’avoir un mental d’acier et de résister à toutes les tentations. Je me suis fait du mal en pensant comme ça, car je craquais souvent et je m’en voulais. Je me pensai « faible ».
Puis j’ai réalisé que la discipline, c'était d’être capable d’organiser son environnement en AMONT pour éliminer ces tentations.
En supprimant les déclencheurs autour de nous, on diminue les risques de céder et aussi notre charge mentale. On n'a plus besoin d’y réfléchir et de se poser 1000 questions. La discipline n’est pas une question de volonté (pas que), mais de contrôle ferme sur les choses autour de nous qui peuvent nous détourner de nos objectifs. Cela requiert également de bien se connaitre et d’être honnête envers soi-même pour identifier nos faiblesses et apprendre à les anticiper.
J’ai écrit un article sur le sujet :
Le secret d’une discipline de fer (sans se prendre la tête)
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20. Quoi que t’aie raconté la société, l’alcool est un poison (dès le 1ᵉʳ verre).
L’alcool est un poison, point final. Et il n’existe pas de dosage minimum où il n’impacte pas négativement le corps. Dès le premier verre, dès la première gorgée, cela crée des réactions toxiques et néfastes pour ta santé.
La société le glorifie, le normalise, le vend comme un moyen de détente, de convivialité, de plaisir. Mais la vérité, c’est que chaque verre est une agression pour ton corps, ton estomac, tes dents, tes muqueuses, ta santé, ta cognition, ta clarté mentale, ton moral, ton énergie et ta productivité.
L'alcool anesthésie la réalité. Il te fait croire que tu te détends. Mais, c'est un excitant ainsi qu’un dépresseur. Il détruit ta flore intestinale et bousille complètement ton sommeil.
Si tu ne peux pas t’empêcher de boire pour t’amuser, que tu bois tous les jours, que tu binge-drink souvent avec tes amis, que tu consommes plusieurs fois par semaine, désolé, mais c’est mauvais pour toi. Il faut que tu réduises ce poison dans ta vie et commences à boire de l’eau.
Voici une vidéo d'Andrew Huberman, neuroscientifique à Stanford. Il y explique les effets sur ton cerveau et ton corps.
Sa vidéo a fait l’effet d’une bombe lorsqu’elle a été diffusée. Elle a sauvé beaucoup de gens (lis les commentaires, tu verras). Elle a aussi sensibilisé des millions, dont moi, à leur consommation. Un must à regarder.
21. La première marche est toujours la plus difficile, la plus haute et la plus longue à surmonter.
La première étape demande toujours le plus d’effort. Elle semble disproportionnée par rapport au chemin qui s'étend devant toi. C’est là où la peur de l’échec, du ridicule et du jugement est la plus forte.
Et c’est à cause de cette première marche que la majorité des gens :
N’osent même pas commencer un projet.
Procrastinent pendant des mois / années.
Abandonnent au bout de quelques semaines.
Pour la surmonter, il te suffit de la rendre si facile que tu ne pourras plus dire non.
Ainsi, lire 50 pages par jour devient : lire 3 pages chaque matin pendant le café.
Courir 5 km par jour devient : courir 5 minutes en écoutant une musique.
Méditer 10 minutes par jour devient : méditer 3 minutes à la pause déjeuner.
J’ai écrit un article qui t’explique exactement comment faire :
La compétence la plus importante et la plus sous-estimée au monde.
La compétence la plus importante,
22. Trouve une personne qui voit le meilleur en toi, te rend meilleur et te soutient (et marie-la).
La personne avec qui tu choisis de partager ta vie à un impact immense sur ton parcours, ton identité et ton évolution intérieure. Choisis (et sois choisi en étant "worthy") quelqu'un qui, non seulement, t'accepte tel que tu es, mais qui te pousse à devenir ta meilleure version et t'inspire. Quelqu’un dont les valeurs et les qualités viennent compléter les tiennent et te tirent vers le haut. Pas l’inverse.
Quand tu es entouré de personnes qui voient ton potentiel, tu t’épanouis. Elles t'encouragent à dépasser tes limites et te rappellent tes forces en cas de doute.
Trouver la bonne personne, c’est comme trouver un petit lac paisible dans le chaos de la vie. Une fois que tu l’as trouvée, marie-la et chérie-là jusqu’à la fin.
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23. Si tu es un « Français d’origine », quoi que tu fasses et quoi que tu dises, tu ne seras jamais un Français aux yeux de la plupart (même ceux de gauche).
Je suis franco-marocain. Mère française (gauloise, puisqu’il faut le préciser). Père marocain. Une leçon que j’ai apprise sur le tard, c’est que je ne serai jamais un Français aux yeux de certains. Je serais toujours, pour beaucoup, une contrefaçon de l’homme civilisé, et devrais toujours d’une certaine manière prouver plus fort que les autres que je ne suis pas juste français, mais un être humain au lieu d’un animal.
Si je critique la France, je suis tout de suite perçu comme un arabe.
Si je suis défiant vis-à-vis d’une institution, c'est parce que je suis un arabe.
Si je laisse pousser ma barbe de 1 micro-centimètre, je suis vu comme un terroriste.
Si je mets de la musique arabe, c'est perçu comme une revendication.
Si on parle de terrorisme à la télé, je suis perçu comme une part du problème.
Si ma langue fourche sur un mot, je suis perçu comme un arabe sans éducation.
Pour ceux politiquement à droite, je serais toujours un « méchant arabe », inférieur, toujours coupable d’un crime qu’il n’a pas (encore) commis, qui doit baisser les yeux, ne pas défier l’autorité, s’estimer chanceux, et ne pas critiquer son « pays d’accueil ».
Pour ceux politiquement à gauche, je serais toujours un « pauvre arabe », inférieur aussi, qui doit être sauvé, aidé, biberonné, à qui on doit apprendre la vie et les manières des êtres civilisés. La condescendance gentille.
Comme dans l’histoire précédente du cadeau et de Bouddha, tu n’as pas à accepter leurs cadeaux. Une fois libéré de cette souffrance et de cette croyance que tu dois prouver plus que les autres, que tu dois faire ta place, que tu dois montrer de manière plus exagérée que tu es français, tu peux enfin commencer à vivre.
24. Ton subconscient communique avec toi et te dit quoi faire et où aller pour réussir : écoute-le.
J’ai découvert ça quand j’étais adolescent. Ton subconscient est une boussole. Il contient toutes tes peurs, tes désirs, tes croyances et tes passions, et il comprend les choses de la vie d’une manière différente de ta conscience.
J’ai remarqué qu’il t'envoie des signaux à travers tes intuitions, tes rêves, tes impulsions. J’ai suivi ce qu’il me disait et j’ai finalement réalisé l’avenir qu’il me montrait avec succès. C’est lui qui m’a montré, au travers d’un rêve (spécial) que j’allais perdre 15 kg et devenir sportif, par exemple.
J’ai simplement accompli mon rêve. Littéralement.
Si tu ignores constamment ces signaux, tu t’éloignes de ta nature profonde et de ce que tu es censé devenir de mieux. Le succès ne vient pas seulement de la raison, il vient aussi de l'alignement avec cette part de toi profonde, qui sait exactement ce qu’il te faut pour avancer et qui process des milliards de données captées dans ton quotidien.
Les mots que tu dis, ce que tu vois, ce que tu entends, ce que tu ressens, ce que tu perçois, etc.
Écoute-toi. Apprend à reconnaitre les signes. Fais confiance à ce que tu ressens, même si ça va à l’encontre de la logique apparente et que ça parait un peu « hippie new age ». C’est un GPS intégré à ton esprit.
25. Les gens projettent leurs peurs sur toi dès que tu essayes quelque chose qui n’est pas ordinaire.
Quand tu décides de t’aventurer hors des sentiers battus, ceux qui n’osent pas ou qui vivent dans la conformité te jugeront souvent. Ils projetteront leurs peurs sur toi, te conseilleront d’abandonner, t’inviteront à « bien réfléchir à ta décision », ils te feront des gros yeux, ils soupireront, ils auront l’air dubitatif, ils t’avertiront, etc.
Ils te diront que tu es trop ambitieux, que c’est trop risqué, que tu dois faire attention, que tu n’es pas prudent, que tu t’égares, ou qu’il est plus sage de rester dans la "norme". Que c’est plus safe.
En réalité, ce qu’ils projettent sur toi, ce sont leurs propres peurs et leur propre vision de la vie. Leur vision limitée de ce qu'est le possible les empêche de comprendre ta démarche. Leur inquiétude n’a rien à voir avec toi, mais avec ce qu’ils n’ont pas encore osé entreprendre dans leur vie et au chemin qu’ils ont eux-mêmes suivi et que leurs parents ont suivi. Je ne les juge pas.
Mais beaucoup d’enfants sont malheureux toute leur vie, car ils essayent de se conformer à ce schéma de pensée.
Ne laisse pas leurs peurs devenir les tiennes. Si tu es différent, que tu aimes explorer, que ton énergie est unique, hors-norme, que tu ne “fit” pas dans le moule, alors lance-toii à fond. Tu as quelque chose d’extraordinaire que les autres non pas.
L’anti-normalité.
Ce qui semble ennuyeux et ordinaire pour eux est souvent la même chose qui t’empêchera de grandir si tu y cèdes.
26. Si tu es un homme, apprend à exprimer tes émotions sainement, car la société t’ordonnera de les refouler (et ça te rendra malheureux).
La société a longtemps imposé aux hommes l’idée qu'ils devaient être "forts", silencieux et discrets quant à leurs émotions. Mais refouler ses sentiments mène à beaucoup de problèmes que j’aurais aimé savoir plus jeune.
Ça crée de la colère refoulée, une honte d’exprimer ses émotions (les exprimer revient à être faible) et provoque une déconnexion totale de soi-même. Cette manière de ne pas exprimer ses émotions fait que les hommes sont à bout, frustrés, pleins de rage, de ressentiment envers la société, car ils espèrent au fond d’eux que quelqu’un leur demandera un jour : est-ce que ça va ?
Que quelqu’un s’inquiètera un jour d’eux.
Mais là où les hommes font une erreur terrible, c’est que ce n’est pas à la société de leur demander, mais à eux de savoir exprimer leurs émotions sainement (pas en accusant les autres, pas en se mettant en colère, pas en étant agressif, etc) pour qu’on leur vienne en aide.
J’ai longtemps pensé que les gens voyaient que j’allais mal. Qu’ils voyaient que je portais beaucoup sur mes épaules. Et j’en voulais aux autres de ne pas m’aider.
La vérité, c'est que je faisais tout pour ne pas montrer mes émotions et paraitre fort, en espérant que quelqu’un le remarque et m’aide sans que j’aie besoin de le dire (et donc de paraitre « faible » comme la société m’avait appris à ne pas faire).
Être un bonhomme !
Mais cette manière de faire est juste une erreur monumentale masculine qui détruit des vies plus qu’elle n’en construit. Exprimer ses émotions avec clarté, c'est une des plus grandes forces mentales qu’un homme puisse acquérir. Ça permet de dire les choses, de se soulager d’un poids quand on veut, de trouver du réconfort et de transformer sa vision du monde autour de soi.
Ainsi, on passe de : « Je souffre en silence, exprime mes émotions de manière toxique et personne ne veut m’aider » à « Quand je partage mes émotions clairement et sainement, je trouverai toujours du soutien autour de moi. » On passe d’un monde qui est dur et cruel à un monde rempli d’empathie et de bienveillance.
En vérité… le monde est à notre image.
C’est un miroir de nos pensées.
Et de nos comportements.
Si tu es capable d'identifier et de partager ce que tu ressens, tu crées des relations plus profondes, une meilleure compréhension de toi-même, et tu évites de porter des poids invisibles (et inutiles) qui t'empêchent de grandir et s’alourdissent d’années en années.
27. Tu ne planifies pas ton avenir, tu planifies tes actions aujourd’hui et tu agis maintenant.
Planifier ton futur, c'est bien, mais c’est trop lointain. C’est trop conceptuel pour le cerveau. C’est bien d’écrire tes objectifs sur 5 ans, mais après ça, tu peux ranger ton bout de papier et l’oublier parce que ce n’est pas ça qui t’apportera des résultats. Ton futur ne se construit pas dans des pensées abstraites ou des projections lointaines.
Il est le produit de ce que tu choisis de faire aujourd’hui, maintenant, tout de suite.
Chaque action, aussi petite soit-elle, est un petit Lego pour ton avenir. Si tu veux que demain soit meilleur, tu dois agir aujourd’hui. C’est tout. N’overthink pas. Si tu n’agis pas aujourd'hui, c’est que tu procrastines déjà.
Ne perds pas de temps à trop réfléchir à ce qui pourrait être, à te perdre dans des plans parfaits et des organisations au millimètre. Concentre-toi sur ce que tu peux faire maintenant pour construire le chemin vers où tu veux aller. Si tu veux commencer à courir et réussir un marathon, va déjà courir 5 minutes aujourd’hui pour commencer. Arrête le blabla, arrête la planification, arrête les plans sur la comète.
Va courir.
Quand tu fais quelque chose maintenant, tu as déjà réussi ton avenir.
28. Tu n’as pas besoin de plus de compétences, mais de plus de courage.
Beaucoup attendent d’être prêts, d’avoir plus de connaissances, de maîtriser un skill avant de passer à l’action. Mais la vérité, c’est que c’est le courage de commencer malgré l'incertitude, malgré le manque de perfection, qui fait la différence.
C’est le courage qui manque à 99% des gens. J’ai pendant des années procrastiné, accumulé des compétences, testé des choses inutiles qui finalement auraient été réglées en 30 jours si j’avais eu le courage de simplement me lancer dans l’arène et de faire les choses. Que je sois prêt ou non.
La compétence se développe en cours de route. Saute et construis ton parachute comme on dit.
Il te faut oser, prendre des risques, accepter l’échec, le jugement, la peur du ridicule, et juste avancer. Ce n’est pas le manque de compétences, de temps ou d’argent qui freine les gens, c’est le manque de courage.
29. Devenir créateur de contenu en ligne est le chemin le plus court pour réussir, gagner de l’argent et être libre.
Dans le monde d’aujourd’hui, créer du contenu en ligne, c'est le moyen le plus direct de bâtir une audience, de monétiser tes compétences et d’être libre financièrement et géographiquement.
Contrairement aux jobs 9-5, la création de contenu en ligne t’offre une flexibilité infinie. Tu as accès à des milliers de personnes en quelques clics, tu peux intéresser des gens quelle que soit ta passion et créer des produits en ligne en quelques jours. Et contrairement au salariat où après avoir travaillé 40 ans, tu gagnes seulement 500€ de plus (quelle blague), là, tes revenus ne sont pas plafonnés.
Tu peux gagner ce que tu veux, quand tu veux et où tu veux.
Que tu sois blogueur, podcasteur, vidéaste ou créateur sur les réseaux sociaux, ça te permet d’être libre, de travailler de n’importe où, avec n’importe qui et de choisir les projets qui te font vibrer. Une fois que tu t’imposes comme créateur (ce qui prend 3-6 mois environ), les possibilités sont infinies.
30. L’école tue les rêves de millions de jeunes en leur disant qu’ils sont inaptes (et ils finissent par le croire).
L’école est un terrain d'uniformisation où seules celles et ceux qui correspondent à un certain modèle académique réussissent. Et notamment ceux qui ont une bonne mémoire et qui réussissent bien scolairement alors qu’ils ne font que régurgiter.
J’en ai vu à la pelle pendant ma scolarité.
Les esprits créatifs, les jeunes « atypiques », ceux qui ne rentrent pas dans le moule, sont parfois considérés comme des échecs, des éléments perturbateurs ou « différents ». Mais ce n’est pas leur capacité à réussir qui est en question, c’est le système qui ne prend pas en compte leurs talents uniques et qui veut à tout prix les caser dans un moule standard.
L’école dit que certains enfants ont des problèmes de concentration.
Mais en réalité, c'est l’école qui a des problèmes pour être intéressante.
Combien de jeunes grandissent en pensant qu’ils sont des échecs parce que l’école leur a dit qu’ils étaient inaptes ? Combien d’adultes pensent qu’ils ne sont pas intelligents parce qu'ils n’ont pas été capables d’apprendre de la SEULE manière que l’école estimait être la plus acceptable ? Comme s’il n’existait aucun autre modèle.
Mais la vérité, c'est que l’école (bien qu’elle soit utile jusqu’à un certain degré) est un vaste cimetière de talents inexploités, réduits et étouffés par le rouleau compresseur complètement inefficace de l’éducation nationale.
Ces mêmes talents en devenir qui abandonneront l’idée d’être une meilleure version d’eux-mêmes, parce qu'un bulletin de note leur a dit qu’ils étaient sans valeur.
L’école n’est pas le seul chemin vers la réussite. Beaucoup des plus grands entrepreneurs, artistes et penseurs n’ont pas suivi le parcours traditionnel, mais ont eu le courage de suivre leur propre voie malgré les doutes que l’on leur a imposés.
Si tu es un poisson, n’essaye pas de grimper dans les arbres.
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31. Ne suis jamais des gens dont le lifestyle est de boire, de fumer et de se droguer.
Un lifestyle qui repose principalement sur des vices comme l’alcool, la drogue ou d’autres formes de dépendance et d’addiction n’est qu’un enfer déguisé en paradis.
Si tu veux profiter du début de ta vingtaine, vas-y, mais je crois que passé 25 ans, le ratio de personnes dépressives, instables, émotionnellement et toxiques commence à augmenter dramatiquement. Passé 30 ans, les groupes d’amis qui continuent de binge-drinker, de boire à fond plusieurs fois par semaine, de se droguer régulièrement et de produire des drames à répétition, sont des viviers à problèmes et des bombes à retardement qui exploseront (violemment) à un moment ou un autre.
Le vrai bien-être, c’est la capacité à être épanoui et à maintenir un équilibre sans se cacher derrière un proxy. Ce n’est pas à se perdre dans des excès et à noyer ses émotions et les meilleurs moments de sa vie dans des soirées dont on ne se souviendra même plus la semaine suivante.
À l’époque où je faisais la fête, j’ai réalisé plus tard que je n’avais quasiment aucun souvenir de cette période. C'était comme un vaste brouillard d’éléments déconnectés, sans aucune profondeur, sans aucun apprentissage, vide de sens et de connexions réelles.
Choisis de t’entourer de personnes qui t’inspirent à être la meilleure version de toi-même, qui ont une discipline de vie saine et des objectifs clairs et qui te tirent vers le haut. L’hédonisme n’est qu’une forme comme une autre d’évitement et d’oubli.
32. Les problèmes ne disparaissent jamais, tu deviens simplement meilleur à les gérer
Les problèmes font partie intégrante de la vie. Chaque étape, chaque projet, chaque ambition implique son lot de défis et d’obstacles. Il n’y a pas de chemin sans difficultés. Ça ne changera jamais. Mais ce qui change avec le temps, c’est ta capacité à les gérer.
Tes épaules deviennent plus larges, tu acquiers plus de savoir, de skills et d’expérience pour gérer les situations. Tu as également plus de 'data points', donc tu sais d’expérience, que telle ou telle situation a 90% de chance de générer des problèmes par exemple.
Plus tu fais face à des situations difficiles, plus tu développes des compétences pour les surmonter. Mais ce qu’on ne te dit pas, c'est qu’il faut être pro-actif. Si tu vis les choses sans en tirer des leçons, tu perds juste ton temps et te condamnes à répéter inlassablement les mêmes erreurs pendant des décennies. Éventuellement, tu finiras par apprendre les leçons, mais en étant pro-actif, tu mettras 365 jours pour intégrer quelque chose au lieu de 10 ans.
Écris les choses, décortique-les, utilise ta logique (et moins tes émotions), réfléchis comment optimiser et améliorer tes actions, puis comment mieux maitriser ton environnement.
Ça te permettra d’apprendre à mieux naviguer dans l'incertitude, à mieux gérer ton stress et à trouver des solutions créatives régulièrement. Les gens qui réussissent ne sont pas ceux qui évitent les problèmes, mais ceux qui savent les affronter sainement.
33. Soit « boring », c’est bon pour la santé.
La société glorifie souvent la nouveauté, l’éphémère, l’explosif, le surprenant, l’incroyable, la sensation, l’excitation et les expériences extrêmes. Mais, souvent, la clé du bonheur et de la réussite réside dans la simplicité et la constance.
Adopter une routine "boring", c’est avoir une vie structurée, disciplinée, saine et régulière. C’est la meilleure chose que tu puisses faire pour ta santé mentale et physique.
Manger de la nourriture de qualité, dormir à des horaires réguliers, faire de l’exercice chaque jour, des étirements, marcher, contempler, lire, observer, écrire, développer son business, vivre des moments de qualité avec ses relations et avoir des habitudes quotidiennes solides. C’est ça qui t’apportera une stabilité et une paix intérieure immenses.
C’est habituellement négligée et moquée par les normies, dans un monde obsédé par le spectaculaire ou l’excès. Mais être « boring », ce n’est pas synonyme de ne pas profiter de sa vie. Au contraire, c’est savoir l’apprécier pleinement.
34. Organise-toi toujours pour le pire.
Ne te laisse pas emporter par l’optimisme aveugle en espérant que tout se passera bien dans la vie. Les merdes arrivent TOUJOURS. C’est une loi de l’univers.
L’idée, une fois que tu as compris ça, c’est d’éviter un maximum les gigas-merdes (maladies, mort, blessures, etc.) et d’anticiper tout ce que tu peux en amont, pour créer l’avenir le plus paisible possible.
La réalité, c’est que les imprévus arrivent toujours, que ce soit un problème de santé, un stress financier, des problèmes relationnels, etc. Et quand ça ne nous concerne pas nous-mêmes, eh bien, ça va concerner les autres. Donc… impossible d’y échapper.
Planifie donc non seulement pour les bons moments, mais aussi pour ceux où tout va partir en vrille. Quand tout va bien pour toi, c'est LÀ que tu dois réfléchir au prochain creux de vague et comment faire en sorte que ce creux soit le moins "creux" possible.
Met un maximum d’argent de côté, fais du cardio a fond pour être en bonne santé, fais de la muscu à fond pour être un grand-père qui peut aller aux toilettes tout seul, soit gentil avec tes voisins (en cas de guerre tu seras content), crée plusieurs flux de revenus (ne met pas tous tes œufs dans le même panier en cas de faillite), investi dans ta santé mentale en amont, etc.
Ce sont ces investissements (mentaux, physiques, argent, relations, temps) qui te permettront de rester stable même quand tu traverseras une tempête. C’est dans ces moments-là que ta résilience et ta capacité d’adaptation se révèleront.
Ne sois pas pris de court par les crises, prévois-les, anticipe tes faiblesses, prévois tes comportements, et sois toujours prêt à les affronter avec calme et stratégie. En étant préparé au pire, tu pourras profiter pleinement des bons moments et réduire l’intensité des souffrances à venir.
Si ce post t'a plu, j’ai écrit un guide complet ou je t'explique comment réussir à transformer ta vie en seulement 30 jours. Grâce à l'Auto-Discipline, la Résilience et une Introspection... brutalement honnête.
Tu retrouveras dedans des techniques, méthodes et systèmes concrets pour réussir à reprogrammer ton identité, à mettre en place des systèmes fiables pour ancrer tes habitudes de manière solide pour t’assurer d’atteindre n’importe quel objectif.
Le tout est basé sur les sciences modernes, mon expérience depuis 10 ans en tant que solopreneur, et la sagesse ancestrale des philosophes stoïciens.
Un grand merci pour ce partage qui me fait réellement écho ✨🙏C'est très inspirant, tu nous encourages à vivre autrement et pour ça merci !