Comment construire une vie pleine de sens (partie I)
Dans laquelle chaque action et chaque décision t’aligne avec ton feu intérieur.
Pour rappel : je me suis lancé dans un défi de 30 jours ce mois-ci (du 01/11 au 30/11) afin de dépasser mes limites physiques et mentales, libérer mon plein potentiel et construire la vie de rêve dont j’ai toujours voulu.
Les objectifs que je vais atteindre :
Nager 2 km / jour et pouvoir nager 8 km d’affilée en moins de 4 h 15.
Écrire 1 newsletter / jour de 1000 mots minimum pendant 30 jours.
Réduire ma sédentarité de moitié (un fléau moderne pire que la cigarette)
Pour suivre mon défi, suis-moi sur Instagram.
“À quoi ça sert tout ça ?”
Est-ce que tu t’es déjà posé la question en te réveillant ? Cette routine, cette course quotidienne et cette monotonie prévisible où chaque jour ressemble étrangement au précédent, comme un film que tu repasses en boucle.
Tu ouvres les yeux, tu prends ton smartphone, tu ouvres Instagram, tu consultes quelques emails et là ça y est : un flot d’informations occupe déjà tes pensées. Puis tu te lèves. Tu manges. Tu te prépares. Et petit à petit une légère vague de stress monte en toi. Le poids de la journée qui t’attend.
Et bien sûr, tu te dis que tu ne devrais pas te plaindre.
Après tout, tu as un frigo plein, un toit sur la tête et un job.
Tout roule finalement. Ou presque…
Mais ce “presque” grandi, jour après jour et commence à occuper ton esprit.
“À quoi je sers ?”
Tu commences à te demander si tout ça n'est pas un peu... inutile. Si tu ne passes pas à côté de quelque chose de plus grand, de plus aligné avec qui tu es vraiment. Puis, tu commences à réfléchir à ton potentiel, à tes capacités, aux rêves que tu avais enfant.
Mais ton cerveau lutte. Car ce genre d’idée est… révolutionnaire.
Et il n’aime pas du tout les idées de ce type…
C’est même contre sa nature.
Son job à lui c’est de te garder en vie et d’avoir à disposition des ressources :
Éliminer les risques de mourir.
Réduire les risques de blessure (psychologiques ou physiques)
Avoir un accès facile à de la nourriture, de l’eau, un abri, etc.
Il délimite donc au cours de ta vie une zone (mentale, comportementale et environnementale) qu’il connait et maitrise bien. La zone de confort.
Elle comprend des actions prévisibles, un environnement prévisible, des pensées prévisibles, des émotions prévisibles, des relations prévisibles, un job prévisible, etc.
Mais il ne faut pas lui en vouloir. Il fait tout ça de bon cœur !
En réalité c’est très utile et même indispensable à ta survie.
Ton cerveau est un ami… un peu trop préoccupé par ta survie.
Mais voilà, il ne veut PAS entendre parler de changement.
C’est sa kryptonite, son anti-mission, sa plus grande phobie.
“Non, non, non, non, non, non, non, non, non, non”.
Qu’est-ce que tu crois poto ?
Que tu vas changer d’environnement, t’exposer à des dangers, à la mort, aux prédateurs, à des blessures mortelles, aux intempéries, au froid et à la nuit sans que je réagisse ? Pffff… * Hold my beer *
Mais il y a comme un vide en toi, qui s’étire de plus en plus chaque jour. Et au fond de toi, tu le sais. La vie, la vraie, ce n’est pas juste des cases à cocher. Des bonnes notes, un diplôme à avoir, un bon job, de l’argent, la maison, le chien, etc. Ce n’est pas que bosser, consommer, épargner, et répéter ça en boucle jusqu’à la retraite.
La vraie vie, c’est celle :
Où tu as le temps de créer, de rêver, de t’exprimer pleinement.
Où tu te lèves le matin avec la joie de commencer ta journée.
Où tu n’angoisses pas le dimanche soir en pensant au lundi matin.
Où tu avances avec un but, pas seulement pour "faire ce qu’on attend de toi."
Où tu te sens aligné avec ce que tu fais, pas juste en train de "faire le job."
Où chaque jour t’apporte un peu plus de clarté sur qui tu veux devenir.
Où tu te sens libre de suivre tes idées, même si elles sortent des sentiers battus.
Où ton environnement te nourrit, t’inspire et t’élève au lieu de te drainer.
Où tu apprends quelque chose de nouveau chaque jour, parce que ça t’inspire.
Où tes relations t’élèvent, te stimulent et te poussent à être meilleur.
Où tes journées ne se terminent pas par l’impression d’avoir "survécu," mais celle d’avoir vraiment vécu.
Où tu prends des risques qui te font grandir, te rendent fier, ou tu repousses tes limites, et t’impressionne chaque jour, même si ça fait peur.
Où tu te sens plus en vie que jamais, parce que tu as l’impression de jouer selon tes propres règles.
Mais pour ça, il faut d’abord sortir des rails. De la Zone. Il faut oser. Il faut se poser les questions qui dérangent ton cerveau (et celui des autres qui n’ont jamais osé), il faut prendre le temps de découvrir ce qui te fait réellement vibrer. Prendre le temps de savoir qui tu es vraiment. Pas juste en tant qu’humain qui cherche sa place dans la société, mais en tant qu’humain à l’échelle de la création universelle.
La nature d’un être humain est sans barrières. Croire qu’elle se limite à faire des tâches répétitives en boucle pendant toute une vie est une hérésie ! Notre nature profonde est de créer, d’imaginer et de produire. Transformer nos pensées immatérielles en actions et en événements tangibles matériels. Inventer ce qui n’existe pas encore. Collecter les idées éparses de l’univers, disséminées dans l'immensité du Chaos, et leur insuffler une forme propre dans l'Ordre. Les remodeler, les lier, leur insuffler une existence autonome.
Une fois que ces limites sont comprises, il devient enfin possible de te libérer de cette cage mentale. Comprendre que nos pensées peuvent littéralement produire des choses matérielles et palpables.
Comprendre que nous pouvons créer tout ce que nous voulons.
Cette vie sans limites, tu peux le construire quand tu veux. Tu peux concevoir la vie qui te ressemble. Selon tes propres termes, tes propres envies. Lui donner une direction et lui insuffler un mouvement, aussi petit soit-il. Une réalité dans laquelle chaque action et chaque décision t’aligne avec ce feu qui brûle en toi.
Cette sensation qu’il y a “quelque chose” en toi qui PEUT.
Cette vie-là n’est pas une utopie. Elle n’est pas réservée aux “meilleurs”, aux gens “talentueux” et “doués”. C’est une terrible limitation que les gens s’imposent à eux-mêmes de croire cela. Le potentiel est offert à toutes et à tous.
Il est à l’intérieur de notre boite crânienne.
Cette vie-là, elle t’attend. Mais pour la créer, il va falloir secouer le cadre, remettre en question ce qu’on t’a appris, et enfin écouter cette petite voix au fond de toi qui te murmures que tu es capable de faire quelque chose de plus grand.
Rendez-vous demain pour la partie II.
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Si ce post t'a plu, j’ai écrit un guide complet ou je t'explique comment réussir à transformer ta vie en seulement 30 jours. Grâce à l'Auto-Discipline, la Résilience et une Introspection... brutalement honnête.
Tu retrouveras dedans des techniques, méthodes et systèmes concrets pour réussir à reprogrammer ton identité, à mettre en place des systèmes fiables pour ancrer tes habitudes de manière solide pour t’assurer d’atteindre n’importe quel objectif.
Le tout est basé sur les sciences modernes, mon expérience depuis 10 ans en tant que solopreneur, et la sagesse ancestrale des philosophes stoïciens.